Dans le métro, il y a des choses que je ne comprends pas. Elles sont si nombreuses que je ne pourrais toutes les citer.
Comme cette femme qui promène son caniche avec une laisse de 5 m, à 8h45, en pleine affluence. Pour éviter le chien dans le couloir bondé, ce n’est pas simple. Dans le même couloir, quand un RER arrive, toute la largeur est prise d’assaut par les usagers qui ne cèdent pas de place pour ceux qui s’approchent en sens inverse. Pourtant, entre le marquage au sol et le bon sens, on devrait pouvoir s’arranger. Non ?
Puisqu’on parle de bon sens, où est-il quand les portes du train, métro, tram s’ouvrent et qu’on ne peut pas sortir parce que les gens qui veulent entrer en forçant bouchent le passage. Pour beaucoup, il est absent. C’est de naissance où l’on devient con rapidement ?
Des situations comme celles-ci, j’en vois et j’en vis tous les jours en allant ou en revenant de travailler. C’est décourageant. Au début, je faisais attention, laissant de la place. Désormais je fonce droit devant et tant pis si personne ne s’écarte. J’apprécie guère, mais bon, faut avancer…
Heureusement… Heureusement que parfois je pars m’aérer le cerveau et l’humour ailleurs.
Comme La Loire par exemple. Si on connait les grands châteaux de la région, très souvent publics, il existe de très nombreux châteaux privés, mais néanmoins visitables, à l’instar de celui de Montrésor. À quelques encablures de Chenonceaux. Un havre de paix.
Quoique… Le propriétaire a tendance à accueillir les touristes avec de la musique à tue-tête. Il est vrai qu’entendre « Le bal masqué », « Ça fait rire les oiseaux » et autres « Alice ça glisse », demande une dose d’humour. Si on fait abstraction, la visite s’avère intéressante et enrichissante.
27 Mai 2022
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