Venise.
Une envie pour certains, un retour pour d’autres. Une découverte en tout cas.
Pour annoncer ma galerie, je m’étais dit que j’énoncerais des titres de chansons portant ce nom, le tout proposant une historiette bien idiote. Une petite recherche sur Internet m’a renvoyé une foultitude de résultats. De « On voulait qu’on l’appelle Venise » à « Venise et Bretagne », il y avait de quoi faire. Ce dernier m’a laissé perplexe. Et puis l’idée m’a passé, parce que non, Venise ce n’est pas triste, n’en déplaise au grand Charles. Même sous la pluie, cette cité lacustre dégage quelque chose, une impression envoutante.
Une balade de 5 jours, sans voiture, mais avec les pieds et les bateaux. C’est en visitant la cité que l’on se rend compte qu’elle est plus petite que l’on pourrait croire. Le trajet Place Saint-Marc au Pont du Rialto se fait en moins de 15 minutes, à condition de ne pas se tromper de direction. De vavanguer à gauche alors que le chemin direct est à droite.
5 jours de balades, c’est aussi 1200 photos qu’il a fallu trier, développer, choisir… avant de s’apercevoir que j’allais éclater le nombre de clichés par galerie que je m’impose. Rien que pour les gondoles (à Venise), j’avais une trentaine de bonnes images. Je me suis fait violence.
Et puis, comment présenter ? L’éternelle question qui se pose à moi et à laquelle je réponds souvent par de la déconstruction, tentant de raconter une histoire qui ne tient pas compte de la réalité horaire. Ce ne sera quasiment pas le cas pour ce voyage. Mis à part la première galerie qui nous montre Venise sous les nuages (le premier jour) et le dernier (sous le soleil).
Une balade entre la boutique-hôtel où nous logions, et la place Saint-Marc. Des canaux, des gondoles et la vie…